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Expérience partagée

29 juillet 2016

Coupable numéro 3 : Le stress

Oublier le passé, se faire violence pour obtenir une meilleure gestion de sa sensibilité. Prendre conscience de la nocivité d'un stress permanent, d'une tristesse dominante. Tourner la page, vivre son présent. 

 

Selon les personnalités : Ne pas trop appréhender le futur; ni pessimisme, ni exigences envahissantes.

Accepter son présent et se défaire des éventuels chocs émotionnels...

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29 juillet 2016

Coupable numéro 2 : Le gluten

Depuis le 01/11/2015, j'ai supprimé le gluten de mon alimentation, plus de pain, plus de viennoiseries, plus de gâteaux, plus de pâtes, plus de pizzas. "Certains" expliquent que la farine n'est pas très digeste, qu'elle est comparable à une pâte gluante et collante coincée sur les parois de nos intestins, irritante et probablement à l'origine de la porosité intestinale.

27 juillet 2016

Coupable numéro 1 : Le lait.

   Je n'ai été allaité que quelques mois, et depuis ma plus tendre enfance j'ai adoré le lait, le lait froid et désaltérant. J'ai repoussé l'eau, préférant mon verre de lait froid et ce jusqu'à l'âge de 22 ans. Je consommais un litre de lait par jour. Depuis, j'ai compris les inconvénients que le lait pouvait m'apporter... Je n'ai pas avalé une gorgée de lait durant les sept dernières années. Et je suis fermement décidée à ne plus boire de lait.

 

   Au Canada aussi, on consomme entre un et deux litres de lait froid par jour et par personne, et il s'agit d'un pays où beaucoup de personnes souffrent de la sclérose en plaque ( cette maladie causée par de nombreux facteurs...)

27 juillet 2016

Première porte : L'alimentation.

Hippocrate, médecin grec, disait : " Que ton alimentation soit ta première médecine".

27 juillet 2016

Parole d'une sclérosée

 

 

   A l'aube de mes 28 ans, ma vue s'est altérée, ce fut ma première névrite optique, avec 2,5 à l'oeil droit. Et quatre mois plus tard, en octobre 2015, le diagnostic fut posé : celui de la sclérose en plaque. Dans une épreuve comme celle-ci, deux possibilités s'offrent nous, soit on baisse les bras et on attend que la maladie nous dévaste, soit on décide de trouver le moyen de la faire régresser, et on se remet en question.

Doit-on faire le choix de se laisser mourrir à petits feux ou bien doit-on faire le choix de vivre?

Je ne suis pas médecin, je n'assume pas la responsabilité de ceux qui choisiront de me suivre, mais ayant pour l'instant refuser de prendre un traitement médical ( si un jour malgré mes efforts, je suis amenée à changer d'avis, mon choix portera sur Copaxone...), je souhaite juste partager mon expérience contre cette maladie.

Je suis mon propre cobaye.

 

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  • Passionnée de lecture, de philosophie, de cuisine, de remèdes de grand-mère, vous trouverez sur ce blog des alternatives, des idées pour appréhender la vie autrement. Au plaisir de vous lire.
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